'Indicateurs économiques et marchés financiers' de Eric VERGNAUD

Couverture du livre 'Indicateurs économiques et marchés financiers'

Commander ce livre sur Amazon


Caractéristiques

Auteur : Eric VERGNAUD
Publication : 2000
Editeur : ESKA
ISBN : 2-86911-708-6
Nombre de pages : 330
Prix : 37,65 euros


4ème de couverture

Eric VERGNAUD - Doctorat en économie mathématique et économétrie de l'Université de Paris I, travaille actuellement à la Direction de la Gestion Actif/Passif de la Banque Nationale de Paris, où il est en charge de la titrisation pour compte propre et de la gestion du risque de change. Il a auparavant occupé des fonctions d' économiste chez Wharton Econometrics, puis à la BNP où il a également été opérateur de marché.
Ancien Maître de conférences à l'Institut d'Etudes Politiques de Paris, il intervient régulièrement au Centre de Formation de la Profession Bancaire.

Michel PEBEREAU est Président-Directeur Général du Groupe BNP-Paribas

Les marchés financiers réagissent en continu à la diffusion de messages politiques, économiques, sociaux, sources permanentes de révision des anticipations des opérateurs.
Les indicateurs économiques occupent une place essentielle, leur publication entraînant des mouvements de cours d' intensité relative et absolue d'ailleurs variable dans le temps.
Cet ouvrage permet d'entrer dans le "coeur" des indicateurs économiques du G5, en rappelant la définition précise de chacun d'entre eux, en analysant de manière formelle, dans le cadre des grands modèles macro-économiques dominants, leur impact sur les cours de change, les taux d'intérêt et les cours des actions, et enfin en mesurant leur influence réelle sur le comportement des marchés. Le rôle et les effets de la politique monétaire sont analysés en passant en revue la mission et le fonctionnement des principales banques centrales : Fed, BCE, Banque du Japon, Banque d'Angleterre.
Cet ouvrage est un outil indispensable à tout opérateur de marché, gérant de portefeuille, analyste, directeur financier désireux de maîtriser les mécanismes des principaux indicateurs économiques, pour pouvoir comprendre et anticiper les évolutions des marchés financiers.


Préface

La chute du mur de Berlin est venue consacrer la victoire de l'économie de marché sur l'économie centralisée. La liberté d'entreprendre a triomphé du rationalisme planificateur. La promotion de l'initiative individuelle et de l'esprit d'entreprise, la libération des échanges internationaux de biens et de services et des mouvements de capitaux sont considérés aujourd'hui comme les meilleurs garants du développement économique un peu partout dans le monde.

Mais la crise asiatique, et la déstabilisation des marchés financiers internationaux qui en est résultée rappellent combien la roche tarpéienne est proche du Capitole. Ici et là, des voix s'élèvent pour s'inquiéter d'une influence excessive de l'économie financière sur l'économie réelle, pour dénoncer une possible dictature des marchés financiers, pour condamner d'éventuels complots de spéculateurs internationaux. Les plus modérés s'inquiètent : les mouvements des marchés financiers ont-ils une relation avec les fondamentaux de l'économie, ou relèvent-ils d'une logique, ésotérique et autonome, définie par quelques grands opérateurs avides de profits spéculatifs et quelques "golden boys" en quête de bonus ?

Le praticien des marchés financiers a tendance à s'étonner de telles questions et de telles analyses. Pour lui, les marchés réagissent essentiellement, et presque en continu, aux messages politiques, économiques et sociaux, qui sont diffusés par les responsables publics et privés : ils sont pour une bonne part orientés par les indicateurs économiques. De fait, la publication de ces indicateurs est un moment fort dans les séances de marché : en pratique, c'est très souvent elle qui déclenche les mouvements des parités de change, des taux d'intérêt et des cours d'actions.

Intervenants de marché et analystes s'efforcent en effet de prévoir les fluctuations de l'activité économique et les évolutions de l'inflation. C'est en grande partie de ces prévisions que découlent leurs anticipations sur les inflexions de politique monétaire, donc sur le niveau des d'intérêt directeurs, et par conséquent, directement ou indirectement, sur l'ensemble des variables financières.

Représentations chiffrées de la conjoncture économique, les indicateurs économiques constituent une des bases permanentes de ces anticipations, dès lors qu'ils sont publiés rapidement et régulièrement, et qu'ils sont considérés comme assez bons prédicteurs de l'évolution des grandes variables économiques que sont le produit intérieur brut, la consommation des ménages, l'investissement, les salaires et les prix. Utilisés pour établir des anticipations, ces indicateurs font bien sûr eux-mêmes l'objet de prévisions, et un lien direct s'établit alors entre indicateurs économiques et variables financières.

Mais pour que le lien ainsi établi conduise à une évolution des marchés financiers que les responsables économiques peuvent considérer comme rationnelle, encore faut-il que les indicateurs économiques soient fiables et soient bien interprétés. Or l'expérience a montré que tel n'était pas toujours le cas. D'abord parce que les indicateurs sont parfois imparfaits, pour des raisons techniques, ou par manque de transparence : on l'a vu à l'occasion de la récente crise asiatique. Ensuite parce que les signaux donnés par ces indicateurs sont parfois bien difficiles à interpréter, et parfois contradictoires. Et puis les opérateurs se laissent parfois aussi entraîner par la passion : l'excés d'optimisme, ou de pessimisme, qui brouille le jugement. Pas plus que les autres agents économiques, les investisseurs et les analystes ne sont totalement rationnels. La main invisible du marché est loin d'être infaillible... L'ouvrage d'Eric Vergnaud peut contribuer à améliorer sa rationalité. Il présente avec précision, et en détail, les principaux indicateurs économiques des cinq grands pays industrialisés. Au-delà, son mérite est de tenter d'expliquer les automatismes qui semblent guider les réactions des marchés financiers face aux statistiques d'activité et de prix, et aux décisions de politique monétaire. Il décrit la manière dont chaque indicateur est utilisé par les analystes et les opérateurs afin de mesurer son influence réelle sur les marchés financiers, qui est variable dans le temps et selon les pays. De nombreux exemples illustrent utilement le propos.

Les indicateurs économiques et leur impact sur les cours de change, les taux d'intérêt et le cours des actions sont analysés de manière formelle dans le cadre des grands modèles macro-économiques. Les théories explicatives des taux de change et des taux d'intérêt sont passées en revue, et le "coeur" des modèles macro-économiques est exploré : formation de la consommation, de l'investissement, des prix et des salaires. D'intéressants développements sont réservés aux principales banques centales, qui sont des intervenants d'une importance essentielle pour les marchés, et dont les décisions sont un objet essentiel des anticipations formées par les autres intervenants.

Eric Vergnaud a un formidable atout : après une belle carrière d'économiste à la Banque Nationale de Paris, il y est devenu opérateur de marché. Cette double expérience confère à son approche une véritable singularité : elle lui permet de combiner la réflexion du théoricien et l'expérience du praticien. Son ouvrage permet d'améliorer la compréhension des indicateurs économiques, et des mécanismes de réaction des marchés. Il sera précieux aux praticiens, qui doivent anticiper et agir. Mais aussi à tous ceux qui s'intéressent au lien entre le monde de l'économie et celui de la finance. Il apporte un éclairage original dans le débat, très actuel, sur la rationalité des marchés financiers, sur les moyens à mettre en oeuvre pour l'améliorer et pour optimiser leur contribution au développement de l'économie réelle.

Michel PEBEREAU
Président-directeur général du Groupe BNP Paribas


Avant-Propos

Les vingts dernières années ont été marquées par un formidable développement des marchés financiers dans un environnement économique de plus en plus instable.

Les perturbations de l'économie réelle ont-elles été causées, même en partie, par l'hypertrophie croissante de la sphère financière, ou le développement de celle-ci a-t-elle constitué une des réponses aux profondes mutations de l'économie mondiale ? Nous ne trancherons, ni même ne nous engagerons dans un débat qui dépasse largement le cadre de cet ouvrage.

Remarquon simplement que l'interconnexion et l'internationalisation des marchés de capitaux ont provoqué, mais aussi permis, l'émergence de nouvelles techniques financières, alors même que les institutions financières et bancaires et les entreprises devaient s'adapter à des parités de change, des taux d'intérêt et des cours de bourse d'une volatilité croissante. Même si cette primauté de la sphère financière sur la sphère réelle était amenée à reculer dans les prochaines années, les marchés financiers continueront d'exercer une influence essentielle.

Afin de mettre en place une couverture contre les risques croissants engendrés par ces fluctuations parfois brutales, il est devenu essentiel, pour les trésoriers d'entreprises ou d'institutions financières, des les anticiper au mieux.

Mais établir une prévision des évolutions des parités de change, des taux d'intérêt et des cours de bourse nécessite la prise en compte d'éléments fort divers :

  • les évolutions fondamentales des économies des pays concernés, en termes de croissance, de prix, d'emploi, d'équilibre du budget et des comptes extérieurs ;
  • les décisions de politique économique et monétaire susceptibles d'être prises pour consolider ou au contraire infléchir ces tendances ;
  • l'état des forces sur le marché et la psychologie des opérateurs, c'est à dire leurs anticipations des deux points précédents.

La place que prend chacune de ces catégories dans l'élaboration de la prévision dépend essentiellement de l'horizon de celle-ci.

Si à quelques mois et à fortiori au-delà de l'année, l'analyse basée sur les fondamentaux a souvent la primauté, les divergences importantes entre les tendances ainsi mises en évidence et les évolutions de très court terme amènent la plupart des opérateurs de marché à privilégier le suivi des décisions de politiques monétaires et à faire le choix de méthodes de prévision telles que les analyses techniques et chartistes.

Dans ce contexte, les indicateurs économiques et financiers régulièrement publiés prennent une place toute particulière, sorte de "pont" entre les deux approches précédentes.

Ce sont en effet des représentations chiffrées de la réalité économique. Comme tels ils sont interprétés, dans un cadre explicitement formalisé ou non, par des agents économiques, qu'ils soient économistes, analystes ou opérateurs, aux approches et aux motivations très différentes, voire divergentes.

Les économistes utilisent les indicateurs, avec d'autres instruments, pour établir un diagnostic conjoncturel, pour anticiper les décisions de politique économique ou monétaire et pour ajuster régulièrement leurs prévisions. La parution très fréquente - mensuelle, voire hebdomadaire - des indicateurs économiques permet en effet un suivi très fin de l' évolution de l'environnement économique et financier. Les indicateurs sont alors au coeur des informations qui alimentent les modèles formalisés construits pour représenter le plus fidèlement possible l'économie et simuler son fonctionnement.

Les opérateurs sur les marchés financiers prennent, quant à eux, des décisions d'investissement et d'arbitrage et ils sont donc contraints d'anticiper les conséquences sur le prix des actifs financiers, des inflexions économiques et monétaires. Cette dernière préoccupation vient de la place de plus en plus importante, voire hégémonique, de la politique monétaire parmi les instruments de réglage de la conjoncture économique. Au total, les indicateurs économiques, supposés fournir une partie essentielle de l'information nécessaire, suscitent un intérêt considérable et déclenchent des réactions parfois massives sur les marchés financiers, alors même qu'ils traduisent majoritairement des enchaînements de moyen et de long terme et que les opérateurs de marché ont souvent une connaissance "floue" de leurs caractéristiques et de leurs implications.

Les opérateurs réagissent en fonction de ce qu'on peut qualifier de "modèles implicites", qui lient indicateurs économiques, décisions de politique monétaire et prix des actifs.

La présentation retenue dans cet ouvrage voudrait refléter cette dualité de l'influence des indicateurs économiques sur les marchés financiers.

Ainsi, dans la première partie, nous tenterons de dénouer les modèles macro-économiques implicites à l'oeuvre sur les marchés financiers. Nous commencerons par rappeler les liens entre les grandes variables économiques et le cours des actions, les taux d'intérêt et les parités de change. Nous verrons ensuite comment se déterminent et fluctuent ces variables. Puis nous évoquerons le rôle et les effets de la politique monétaire, en passant en revue la mission et le fonctionnement des principales Banques Centrales : le Système Fédéral de Réserve, la Banque du Japon, la Banque d'Angleterre et le Système Européen de Banques Centrales.

Dans la seconde partie, nous présenterons les principaux indicateurs économiques. Pour chacun, après une description précise de ses caractéristiques, nous jugerons de son influence réelle sur les marchés.

Une place primordiale est bien sûr réservée aux indicateurs américains, compte tenu du rôle majeur du dollar et de l' économie américaine. Les indicateurs japonais occupent également une place de choix. Le Japon est la deuxième puissance économique mondiale et sa monnaie fera face au dollar et à l'euro dans les années qui viennent. La panoplie de "vrais" indicateurs européens est encore très réduite, et l'Allemagne et la France pèsent plus de de la moitié du Produit Intérieur Brut de la zone euro ; voilà qui justifiait de s'attarder sur les indicateurs économiques français et allemands. Enfin, en attendant que le Royaume-Uni rejoigne cette zone euro, nul doute que la conjoncture britannique et ses conséquences en termes de politique monétaire et de change, ajoutées au rôle important de la place financière de Londres, continueront de passionner les acteurs des marchés financiers.


Sommaire

PREFACE 17
 
AVANT-PROPOS 19
 
PARTIE 1 - LES MODELES MACROECONOMIQUES IMPLICITES DES MARCHES FINANCIERS21
 
INTRODUCTION 22
 
   Des automatismes communs 22
   Des enchaînements entre conjoncture économique, politique monétaire, prix des actifs financiers23
   Une hiérarchie entre phénomènes, variables et indicateurs économiques24
 
1. LES GRANDS COURANT DE REFERENCE 27
 
1.1 l'Etat actuel du débat théorique 27
   1.1.1. La formation des anticipations 28
   1.1.2. Les paradigmes classiques et keynésiens 30
     Les Classiques et l'équilibre par les prix30
         Les Monétaristes 31
         Les Nouveaux Classiques32
     Les Keynésiens et l'équilibre par les quantités33
 
1.2 Le cycle économique 35
   1.2.1. Quelques rappels 35
     Les phases du cycle économique35
     Cycle économique et cycle d'inflation36
   1.2.2. Les théories du cycle économique ou cycle d'affaires37
     La vision keynésienne38
     L'approche monétariste38
     Les nouveaux Classiques38
     La théorie du Cycle d'Affaires Réel39
2. UNE ANALYSE "THEORIQUE" DE LA REACTION DES MARCHES 41
 
2.1 Les variables décisives pour les marchés 41
   2.1.1. Le marché des changes 41
     Les explications basées sur les "fondamentaux"41
          La théorie de la Parité des Pouvoirs d'Achat (PPA)41
          La théorie de la Parité des Taux d'Intérêt (PTI)44
          La balance commerciale et la balance courante45
          Le modèle de Mundell et Fleming46
          Le modèle monétaire à prix flexibles48
          Le modèle monétaire à prix rigides49
     Les modèles basés sur les anticipations de taux de change50
          Les choix de portefeuilles50
          Retour sur la formation des anticipations50
          Le modèle monétaire à prix flexibles et les anticipations rationnelles52
          Les modèles de "news"52
          Les bulles spéculatives et la rationalité des agents53
   2.1.2. Les marchés monétaires et obligataires 54
     Les taux courts54
     Les taux longs55
     La structure par terme de la courbe des taux57
          La théorie des anticipations57
          La théorie de la prime de liquidité57
          La théorie de la segmentation des marchés58
          La théorie de l'habitat préféré58
   2.1.3. Le marché des actions 58
     Le Price Earning Ratio ou PER59
     Le Yield Ratio59
2.2 Les grandes relations de causalité 59
   2.2.1. Un peu de comptabilité nationale 60
     Les trois mesures du PIB60
     L'épargne61
     Le revenu national62
   2.2.2. Le cadre formalisé des modèles macroéconomiques62
     Une architecture commune62
     Les principaux enchaînements64
   2.2.3. La détermination de l'offre et de la demande66
     L'équilibre entre la demande et l'offre66
     Le comportement des entreprises67
          Les stocks67
          Les demandes de facteurs68
          L'investissement productif des entreprises69
          La demande de travail (offre d'emplois) par les entreprises73
     Les tensions74
          Le taux d'utilisation des capacités de production74
          Les emplois vacants75
          Le chômage75
     Le comportement des ménages76
          La consommation des ménages76
          L'investissement en logements des ménages78
     Le commerce extérieur78
          Les exportations78
          Les importations83
   2.2.3. Les prix et les salaires84
     Les salaires84
     Les prix86
          Les prix d'offre86
               Les prix à la production86
               Le prix des importations87
          Les prix de la demande87
               Les prix de la consommation des ménages et de l'investissement productif87
               Le prix des exportations87
 
 
3. POLITIQUE MONETAIRE ET BANQUES CENTRALES 91
 
3.1 Politique monétaire, croissance et inflation 41
   3.1.1. Monnaie et prix92
   3.1.2. Le point de vue keynésien sur la politique monétaire93
   3.1.3. L'approche monétariste de la politique monétaire95
3.2 Les objectifs et les moyens de la politique monétaire 97
   3.2.1. Les fonctions de réaction des Banques centrales, objectifs finals et objectifs intermédiaires97
   3.2.2. Les moyens d'intervention100
3.3 La politique monétaire américaine et le Système Fédéral de Réserve des Etats-Unis (TheFederal Reserve System) 103
   3.3.1. La mission et le rôle international du FED103
   3.3.2. L'organisation du FED106
   3.3.3. Les instruments de la politique monétaire américaine109
   3.3.4. Comment (tenter de) prévoir et interpréter les actions du FED : le "FED watching"112
3.4 Le Système Européen de Banques Centrales 113
   3.4.1. L'objectif et les missions du Système Européen de Banques Centrales113
   3.4.2. L'organisation du SEBC116
   3.4.3. Les instruments de la politique monétaire unique en phase III de l'UEM118
3.5 La Banque du Japon 122
   3.5.1. Les missions et les objectifs de la Banque du Japon122
   3.5.2. L'organisation de la Banque du Japon123
   3.5.3. Les instruments de la politique monétaire au Japon125
3.6 La Banque d'Angleterre 126
   3.6.1. La mission et les objectifs de la Banque d'Angleterre127
   3.6.2. L'organisation de la Banque d'Angleterre129
   3.6.3. Les instruments de la politique monétaire au Royaume-Uni130
 
 
PARTIE II - UNE REVUE DES PRINCIPAUX INDICATEURS ECONOMIQUES ET FINANCIERS DES PAYS DU G5133
 
INTRODUCTION 135
 
1. LES ETATS-UNIS 139
1.1 L'activité 141
   1.1.1. Le produit intérieur brut141
   1.1.2. La consommation des ménages165
   1.1.3. L'investissement176
   1.1.4. Le commerce extérieur184
   1.1.5. Les finances publiques193
1.2 Les prix et les salaires 195
   1.2.1. Les prix195
   1.2.2. Les salaires207
1.3 Les agrégats monétaires 211
 
2. LA FRANCE 215
2.1 L'activité 216
   2.1.1. Le produit intérieur brut216
   2.1.2. La consommation des ménages223
   2.1.3. L'investissement225
   2.1.4. Le commerce extérieur225
   2.1.5. Les finances publiques229
2.2 Les prix et les salaires 230
   2.2.1. Les prix230
   2.2.2. Les salaires233
2.3 Les agrégats monétaires 234
 
3. L'ALLEMAGNE 237
3.1 L'activité 238
   3.1.1. Le produit intérieur brut238
   3.1.2. La consommation des ménages246
   3.1.3. L'investissement248
   3.1.4. Le commerce extérieur248
   3.1.5. Les finances publiques250
3.2 Les prix 251
3.3 Les agrégats monétaires 256
 
4. LE JAPON 259
4.1 L'activité 261
   4.1.1. Le produit intérieur brut261
   4.1.2. La consommation des ménages270
   4.1.3. L'investissement273
   4.1.4. Le commerce extérieur276
4.2 Les prix 280
4.3 Les agrégats monétaires 284
 
5. LE ROYAUME-UNI 287
5.1 L'activité 289
   5.1.1. Le produit intérieur brut289
   5.1.2. La consommation des ménages300
   5.1.3. L'investissement303
   5.1.4. Le commerce extérieur304
   5.1.5. Les finances publiques307
5.2 Les prix et les salaires 308
   5.2.1. Les prix308
   5.2.2. Les salaires311
5.3 Les agrégats monétaires 313
 
6. LES INDICATEURS ECONOMIQUES EUROPEENS 315
6.1 L'activité 316
   6.1.1. Le produit intérieur brut316
   6.1.2. Le commerce extérieur321
6.2 Les prix et les salaires 322
   5.2.1. Les prix322
   5.2.2. Les salaires323
6.3 Les agrégats monétaires 324
 
BIBLIOGRAPHIE 327

Acheter ce livre

Vous pouvez commander ce livre chez Amazon en cliquant sur un de ces liens :

"Acheter le livre 'Indicateurs économiques et marchés...' sur Amazon.


 Haut de la page  Bibliographie  Itinéraire de lectures  Sommaire du site

  Newsletter

Pour recevoir nos derniers articles, détachements de dividendes et offres de placements :

S'abonner à la newsletter


Nous contacter ou nous suivre sur les réseaux

Site hébergé par OVH - 2 rue Kellermann - 59100 Roubaix - France - Tel : 09 72 10 10 10